Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (85)

J’ai réussi à ce qu’Océane revoit sa conception de leur couple avec Georges en acceptant un partage de leurs envies sexuel de couple même si dans un premier temps elle doit accepter de donner satisfaction aux envies que ce garçon avait dans la tête et qu’elle avait anticipées en allant dans un bar se donner à des hommes avec tous les risques engendrait pour elle.
Elle a accepté de vivre au sein de son couple les jeux libertins qui aident à son harmonie et nous démontre que le couple est capable d’entrer dans notre groupe d’amis qui passent de bonnes vacances dans ma villa.

Georges acceptant le jeu que nous avons déclenché à leur arrivée de vendre les diverses parties possibles des plaisirs féminins aux enchères vient de voir son anus acheté par Adonis et Jacky pour qu’il se fasse prendre par leurs deux bites.

La belle vient de les voir entrés en elle avec un petit moment de douleur qu’elle semble rapidement avoir surmonté.
Adonis commence à entrer et à sortir.
Au bout de quelques minutes les sprinters sont bien distendus et il se permet de sortir entièrement avant de replonger.

• Georges mon anus jouit grâce à toi.
• Profite en bien ma garce, chaque fois que tu me tromperas comme tu la fais avec tes déménageurs tu auras droit à la même punition.
• Oui mon cœur, si cette punition est celle que je subis depuis que nous sommes arrivés chez Christine et ses amis tu peux être sûr que tu seras souvent cocu.

Elle dit cette phrase avec tellement de sourire aux lèvres que je vois bien que pour ce couple comme pour tous ceux que j’ai réunis ici ce mot sera définitivement bannie de leur langage.
Alain monte à hauteur de la bouche d’Océane.

• Georges, permets-tu que j’en prenne pour cent euros ?
• Aucun problème elle va assurer.

Louis fait une proposition de son côté.

• Et moi j’en prends pour le double cela fera un compte rond dans la cagnotte de nos amis.


• Quand il y en a pour un il y en a pour deux, tu peux y aller.

À tour de rôle elle les suce l’un ou l’autre et au moment de jouir, ils arrivent à être en même temps dans sa cavité buccale.
Je retrouve Océane telle qu’elle était dans son bar capable d’être prise par deux bites dans le cul et deux bites dans la bouche.
En même temps les quatre hommes déchargent en elle, Jacky et Adonis remplissent son fondement et les deux autres arrosent ses amygdales.
Ce traitement que j’ai subi même différemment dans certains détaille est épuisant et elle se laisse aller sur le côté du tourniquet.
Elle se couche en chien de fusil.
Je m’approche et détache la laisse et mon collier du cou de notre nouvelle pute et amie.

• Quand on monte les enchères, il faut payer. Messieurs et mesdames, allez chercher le salaire de celle qui vient de nous offrir un pur moment de bonheur même pour ceux qui ont simplement regardé.
Océane je te baptise nouvelle pute de notre groupe, tu as passé l’examen avec brio.

Ils partent tous vers leur chambre et reviennent avec la totalité des mille euros promis qu’Alain a collectée mais qu’il est dans l’incapacité de lui donner car madame dort à poings fermés.

• Alain, je récupère l’argent.
Véronique, remet moi mon collier.

Elle s’exécute, je suis de nouveau à elle comme le veut notre pacte.
Je prends place sur le tourniquet.

• Pute Océane et maquereau Georges, venez me voir.

Océane ouvre un œil en entendant son nom.

Je répète, pute Océane et maquereau Georges, venez me voir.

Ils s’approchent se prenant la main.

• Maquereau Georges monté près de moi, êtes-vous satisfaite de votre gagneuse ?

Après avoir fait semblant d’avoir un temps de réflexion.

• Pour une première journée où elle a enfin acceptée de se comporter comme la femelle en chaleur que j’espérais depuis longtemps, c’est un bon début.

• Pute Océane voici le salaire de vos prestations !
• Non surtout pas d’argent, il m’a suffi de vous avoir fait plaisir c’est bien suffisant.
• Maquereau Georges, je constate que votre gagneuse est encore arrogante, punissez là.
• Les deux messieurs qui sont ici ont été exclus des jeux de ma petite chienne, baisée là, je suis sûr qu’elle est encore partante !

Louis et Adrien monte sur scène et contrairement à tout à l’heure, ils la baisent en double pénétration vaginale.

• Oh ! George elle a raison prend le fric que j’ai gagné avec mon cul, je t’ai prouvé mon amour.

Les deux garçons la font une nouvelle fois jouir en si peu de temps que je la vois défaillir.
Les hommes en elle continuent à la pénétrer comme s’ils forniquaient avec une poupée gonflable.
Je vais à la cuisine et je reviens avec un linge mouillé.
Je m’approche d’elle, un peu de vie et de vigueur sont revenues dans ces yeux.

• C’était bon, j’étais comme dans un rêve.

Je lui tamponne le front alors qu’ils continuent à la besogner et finissent par s’épancher en elle, son plaisir est au sommet de ce qu’une femme peut ressentir. Elle me regarde avec amour une dernière fois et elle retombe dans ses songes.
Je la récupère dans mes bras.

• Les garçons, portez là dans ma chambre.

Alain la prend dans ses bras.

• Maquereau Georges, vous avez prostitué votre femme ce qui est formellement défendu par la loi de cette maison, ici les femmes sont toutes consentantes quand elle se donne à nos hommes, mesdames cet homme de mauvaise vie est à vous que ma sentence s’abatte sur lui.

Alain qui porte toujours Océane part vers l‘étage et alors que Georges se retrouve submergé par un paquet de tétons et de chattes en chaleur, je le suis jusqu'à l’étage.
Il l’allonge sur mon lit et quitte la pièce.
Je m’étends à ses côtés et je la prends dans mes bras.
Je plonge dans ses yeux bleu océan et nos lèvres se retrouvent.

Pas un baisé vorace mais un de ceux qui fusionnent les cœurs pour un long moment.
Nous restons à nous regarder un long moment et le sommeil est le plus fort, nous sombrons en même temps.
Est-ce un bruit qui me réveille ?
Océane dort en suçant son pouce, je me dégage et je vais m’isoler quelques minutes.
En passant devant la chambre des trois filles, un bruit suspect me parvient à travers la porte juste poussée, je l’ouvre et dans mon champ de vision Marie-Ange se fait pénétrer en levrette par Georges.
Je suis contente, ce garçon a enfin la vie que sa femme lui refusait par manque de communication, je me jure bien si un jour l’amour, le vrai, pas celui de Pierre frappe à ma porte que ce sera la pièce maîtresse de notre contrat de vie.
À l’étage du dessus tout est calme, chacun dort avec sa chacune.

Je redescends, personne sur la terrasse, un instant ma pensée vagabonde vers Johnny avec lequel j’ai passé des moments de franches discussions.
Les filles ont préparé la table pour le petit déjeuner, après qu’elle eut exécuté ma sentence bien amicale envers Georges.
Il me revient en mémoire qu’il m’a dit qu’il avait trouvé notre carte avec le téléphone de l’organisation dans l’hôtel de la Rochelle où nous avions réellement été exercer le métier que j’ai choisi avec Valérie.
Si cette carte traduit une partie de nos revenus alors je loue le destin que ce soit lui qui l’ait trouvé nous permettant de le connaître ainsi que celle qui est dans mon lit.
Au moment de remonter la retrouver remontée, mon regard croise l’imperméable que Fabienne avait mis pour cacher sa nudité et aller en ville et nous ramener Carle ce qui a été le premier maillon de la chaîne qui nous unit tous.
Une idée me vient, je l’enfile et je sors de la maison, la nuit étoilée me permet de traverser la rue sans risquer de me casser la figure, j’arrive devant la porte arrière, elle est ouverte, bizarre !
Je la pousse, j’aperçois sur le palier du premier étage une ombre bougée.

Un hublot me revoit la luminosité que nous envoie la lune, Katia est là et semble fascinée par ce qu’elle voit par la porte qu’elle a légèrement entrebâillée.
Je l’approche en essayant d’éviter de lui faire peur, je lui murmure.

• C’est beau.

Elle sursaute et manque de laisser échapper un cri.
Je lui mets la main sur sa bouche, dans le mouvement mon bras libre j’entoure sa poitrine et ma main se retrouve sur son sein.
Elle me reconnaît et instinctivement me tend sa bouche.
Très doucement je lui susurre.

• Non Katia, je te promets dans un mois !...

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